Un au revoir à tous

#1
Salut à tous,

Après un an tout pile passé avec Kawette qui ne m'a jamais fait défaut, je l'ai vendu hier.

J'ai acheté une ZR7 en TBEG avec 30 000 km de 1999 pour la remplacer.

Je veux monter progressivement en puissance et déjà, la ZR7, c'est pas une brute mais ca change beaucoup... ainsi qu'au freinage.

Je remercie tout ceux qui m'ont aidé et vous souhaite bon vend sur kakawette! J'ai orienté mon remplaçant vers le forum!!!

#8
pour le moment, je peux dire que ca tire fort par rapport à l'ER5 et que je suis content de retrouver mes sensations des début (car l'ER5 me donnait l'impression de tirer au début, étant novice - à la fin, je m'embetais un peu).

C'est aussi maniable (c'est un vélo comme l'ER5) en ville et permet quand même de rouler de manière bcp plus agréable sur autoroute car régime tour inferieur à vitesse égale.

Le bruit est quand même bien différent, ressemblant plus à une grosse cylindrée et le top du top c'est le couple.

Franchement, ca repart à 30 en 5ème sans soucis!

Voila, au niveau du look, l'amortoscentral à l'arrière est quand meme plus stylé que les 2 amortos de l'ER5, et le confort en DUO est quasi identique (une selle confort est un plus que je n'ai pas).

Je ferai un topic dédié quand j'en saurais plus, j'ai fait que 100 bornes pour le moment!

#10
Une ZR7!
Comme cranedacier, je lorgne aussi dessus pour une évolution :mrgreen:
Comme dirait psicoblue c'est "gros kawette" :lol:
Montre nous des photos pour qu'on bave un peu 8)
Image

#12
Oui c'est un peu la réflexion que je me suis faite en trouvant une photo officielle kawa...
J'ai vu la même photo officielle ER5 pas plus tard qu'hier soir, et en fait c'est l'ER5 "idéale" telle que beaucoup la transforme en fait ! Double-disque à l'avant, disque à l'arrière, moteur noir...

Mais côté design c'est vraiment l'ER5 en plus gros quoi :-)
Du coup pour moi, ça l'élimine un peu d'office, quitte à changer de moto je préfèrerais en profiter pour un look plus moderne aussi ^^

#13
olance a écrit :Du coup pour moi, ça l'élimine un peu d'office, quitte à changer de moto je préfèrerais en profiter pour un look plus moderne aussi ^^
C'est sur.

Moi ce qui me tente surtout, c'est la fiabilité, le pas cher à l'achat sur les quelques annonces que je vois, et une cylindrée avec une puissance sympa.

Faudrait que je me renseigne du côté de l'assurance

#14
Ouep, je comprends le point de vue :-)
Et puis bon je dis ça, mais mon ER5 je ne l'ai que depuis février et je sais que je ne vais pas la changer avant quelques temps ! ;)
Je verrai bien alors, les sous que j'aurais.... ^^

#17
mono amortisseurs.

Et perso, j'aime trop le look à l'ancienne avec phare rond, donc je ne veux pas forcément changer de look (sauf l street triple mais hors budget!)

#18
olance a écrit :
Mais côté design c'est vraiment l'ER5 en plus gros quoi :-)
Du coup pour moi, ça l'élimine un peu d'office, quitte à changer de moto je préfèrerais en profiter pour un look plus moderne aussi ^^
question de génération de motos...
ces 2 kawas sont contemporaines, meme style, meme mode de l'époque, basée sur le coté retro ...
ca explique aussi le prix tres bas de la zr7, qui reste une bonne moto et qui offre beaucoup pour un budget serré...

une bonne affaire, avec des occasions souvent peu maltraitées, car on n'achetait pas un ZR7 pour peter des chronos...
le poids bien present mal relayé par un chassis pas assez rigide et des suspates d'entree de gamme empechant toute tentative de sportivité...

par contre penser au poid en hausse (230kg) et a une consommation d'essence importante si on roule un peu (7 à 9l au 100km)

8)

#19
pour info, les caracteristiques:

Caractéristique technique

Moteur
Type 4 cyl. ref. par air , 4 T, 2 ACT, 2 soupapes par cyl.
Cylindrée (al. x cse 738 cm3 (66 x 54mm)
Puissance maxi Ch (kW) 76 (56) à 9500 tr/mn
Couple maxi m.kg (N.m) 6,4 à 7500 tr/mn (nc)

Transmission
Boîte de vitesses 5 rapports
Transmission finale par chaîne

Partie cycle
Frein Av (étrier à x pist.) 2 disques Ø 300 mm (2 juxt.)
Frein Ar (étrier à x pist.) 1 disque Ø 240 mm (2 juxt.)

Dimensions / Poids
Réservoir (Réserve) 22 litres (3,2)
Poids à sec 202 kg

ET L'ESSAI d'époque:

ne ligne moderne, un quatre cylindres en ligne de 750 cm3 et un prix tellement serré qu'il n'atteint même pas les 40 000 F, Kawasaki pouvait difficilement frapper plus juste qu'avec la ZR-7.

On a aimé
Sa simplicité et son faible prix lui offrent ses meilleurs atouts.

On a moins aimé
Bien que partageant la même racine patronymique que la ZRX 1100, la ZR-7 est loin de partager ses qualités dynamiques.

La lignée

La ZR-7 ne revendique pas le statut, loin de là, de moto révolutionnaire. Son moteur est au contraire issu d'une longue lignée qui débuta en 1973 avec la Z750 RS. Vinrent ensuite les Z 750 FX en 1979, GPZ 750 en 1983 et enfin la Zéphyr 750 en 1990.

Les améliorations

Pêle-même : le système K-tric (à l'admission), des réchauffages de carburateurs en série, le renforcement des pistons et l'amélioration du circuit de refroidissement grâce à de nouveaux gicleurs et une augmentation de la capacité de la pompe à huile.

Son signe particulier

La ZR-7 a bien du mal à se trouver un petit nom.

Notre avis

Une moto sans prétention particulière si ce n'est celle de séduire les motards de tous âges, de toute condition et de tout niveau de pilotage. Elle est donc partie pour devenir un grand classique.

Avec sa ligne moderne et sportive, la ZR-7 entretient longtemps l'espoir de se retrouver au guidon de l'un de ces nouveaux roadsters ultra-sport de moyenne cylindrée. D'ailleurs, son positionnement au sein de la gamme Kawasaki entre l'ER-5 et la ZRX1100, réputés pour leurs tempéraments bouillonnants, incline naturellement à penser que la ZR-7 va faire sienne les qualités de légèreté et de maniabilité de la petite tout en s'offrant un bout des performances de la grosse. C'est oublier un peu trop vite que la ZR-7 est, en dépit des apparences, la digne héritière d'une toute autre lignée de roadsters : celle des Zéphyr 550 et 750. C'est à cette dernière qu'elle emprunte son moteur : un quatre cylindres en ligne de 738 cm3 à deux soupapes par cylindre et refroidissement par air et huile.

Maniable en ville

La prise en main de la ZR-7 se fait le plus naturellement du monde. La selle basse et la position redressée ne pourront surprendre personne pas plus que l'agencement des instruments de bord ou des commodos. Les fonds blancs des tachymètres et compte-tours sont en revanche immédiatement flatteurs à l'œil et la jauge d'essence placée entre les deux ôte immédiatement le doute d'une prochaine panne sèche. Les leviers de frein et d'embrayage sont réglables sur 4 et 5 positions, ce qui permet d'emblée de se mettre la machine en main.

A faible vitesse en ville, la ZR-7 apparaît tout de suite très maniable et dotée d'une direction légère. Les premières ruelles à angle droit mettent en valeur un très bon rayon de braquage. A faible régime, le moteur s'avère parfaitement docile et ne requiert que très peu l'usage de l'embrayage, très doux par ailleurs. Hors de la ville, la partie-cycle laisse cependant assez vite percevoir le comportement typique d'un quatre cylindres d'ancienne génération

Agréable pour enrouler gentiment à bas régime, le quatre-cylindres pourtant peu vitaminé s'acquitte honorablement de sa tache et offre le meilleur de lui-même dès 4 500 tr/mn où son couple s'élève déjà à 6 mkg. Mais il faut attendre les 6 000 tr/mn pour le voir offrir son potentiel maximum qui, à défaut d'être décoiffant (la ZR-7 n'affiche qu'une puissance modeste de 76 chevaux), est globalement satisfaisant. Suffisant en tout cas pour s'acquitter des dépassements en toute quiétude. Sur autoroute, il s'avère capable de cruiser à un bon 160 km/h sans donner l'impression de forcer. Bref, on découvre dans cette basique à petit prix des qualités routières indéniables qui pourront être encore bonifiées grâce à l'adjonction d'un saute-vent disponible en option.

En résumé, cette ZR-7 n'est peut-être pas le roadster sportif que l'on attendait mais elle propose un excellent compromis pour rouler loin sans se ruiner. Dotée d'une consommation raisonnable offrant une autonomie moyenne de 300 kilomètres, elle renoue avec une tradition en voie de disparition : rouler en toute simplicité.
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