Le problème c'est que les conducteurs (si on peut les appeler ainsi) de BAR réfléchissent (???) en fonction de leur connaissance de la route, c'est à dire souvent en fonction de la voiture : aucune connaissance de la moto, du bus, du poids lourd.
Si l'on ajoute l'incivilité ("j'en foutiste") donc pas de cligno, tél en roulant, passage au feu rouge, une évolution certaine de la société vers l'individualisme, alors on a un cocktail détonnant : qui prend le volant (le 2 roues) en ayant à l'esprit qu'il a une responsabilité vis à vis des autres usagers et que celà peut l'amener à se justifier devant un tribunal en cas de pépin ? (et je ne parle pas des remords s'il y a eu une vie ou une famille décimée ...).
Vous même : avez vous envisagé le problème sous cet angle ?
Après, il est trop tard pour revenir en arrière.
Force est de constater que le permis "auto" est donné trop facilement, qu'il n'y a aucun recyclage des connaissances prévu et que celui-ci ne sera jamais remis en cause (même si vous avez 100 ans et que vous y voyez "que dalle") sauf si vous faites une grosse connerie ...
Alors, on peut faire des discours sur la limitation de vitesse (les nouveaux bandits "manchots" ?), le problème passe passe une prise de conscience individuelle et collective : prendre la route n'est pas un acte anodin ! Dans certains cas l'éducation passe par la répression : que fait la société face à ces problèmes ?
Alors, personnellement, quand un abruti a joué avec ma vie, il m'arrive d'avoir "des vapeurs" et tant pis pour lui ...
Ed (Ed -> président, Ed -> président

).